LES ANCIENNES ECOLE DE CLERMONT

Le Collège et l’école d’agriculture

Beaucoup d’ entre-nous avons gardé la mémoire, parfois nostalgique, de ce qui fut notre COLLÈGE, nous y vécûmes une bonne partie de notre adolescence. Nous y revoyons avec un certain attendrissement nos classes, les studieuses et celles d’études, sous la féru­le apparente, mais néanmoins pleine de souplesse, de nos répétiteurs. A l’instar des anciens frondeurs languedociens nous les affublions ainsi que les professeurs ou instituteurs de surnoms plus ou moins descriptifs. Nos préaux, notre cour de «récré» où se mélangeaient toutes sortes de jeux permettaient une cohabitation des jeunes de 11 à 18 ans, dans une ambiance harmonieuse sous la férule attentive des responsables scolaires, cette camaraderie est restée figée dans nos mémoires et nous la retrouvons avec bonheur quand de très longues années après nous avons la joie de rencontrer des anciens collégiens.

Dans un mélange étonnant et non différencié se rencontraient les internes et externes, les Collégiens, les élèves de l’Enseignement Primaire Supérieur, ceux de l’Ecole d’Agriculture. Aujourd’hui il s’agit du Lycée de la Rue Victor Hugo qui occupe la totalité du Couvent des Dominicains, à l’exception de l’Eglise St Dominique, dite à tort «des Pénitents». Nous reviendrons dans un autre chapitre sur cette église ainsi que sur son vaste domaine, mais revenons à ce Collège Municipal. Il avait été précédé avant 1789 par 2 ou 3 écoles primaires où l’on enseignait simplement la lec­ture, l’écriture et le calcul. Le couvent des Dominicains où séjournaient à cette époque seulement 4 reli­gieux (3 Pères et I frère convers) qui furent obligés de quitter Clermont. Leur couvent devint alors propriété Nationale, il fut mis aux enchères, le monastère, le cloître, son jardin, le pigeonnier, son verger, l’écurie, le Moulin à Huile, la Tannerie, ses réservoirs, soit 1.250 m2 de Bâtiments et un Hectare et demi pour les sols. Le 19 Mai 1791, la totalité était vendue au sieur Jacques André BAUMES (prête-nom de la municipalité) pour la somme de 47.500 livres. Les autres possessions dispersées Vigne au Fenouillet, le Moulin en bordure de l’enclos, un champ à Fouscais, une Oliveraie à La Canourgue, furent vendues à divers acheteurs. L’Eglise avait servi auparavant de lieu de réunion pour les Assemblées primaires élues par des «citoyens actifs, désignés sur des listes, censi­taires».Le jour de NOËL 1790 il s’y constitua une Société dite des «Amis de la Constitution» puis dénommée plus tard «Club des Jacobins» (I) qui le revendit quelques mois après à la Commune avec l’enclos attenant Rue Coutellerie. On y installa tour à tour «Maison des Orphelins» et par la suite en 1793, François LAUSSEL. ancien prêtre de Gignac qui avait épousé une religieuse prit la direc­tion de l’école.

En l’An V (1797) un nommé Isaac VERNET (un patriote) obtint l’autorisa­tion d’installer dans le local du Couvent une école et un pensionnat où, aidé de son fils ils enseignèrent quelques rudiments scolaires. En l’An XII (1803) le 27 vendémiaire, il obtint la transformation de son école «secondaire et libre» décret du premier Consul BONAPARTE,en Ecole Secondaire Communale. Cette école secondaire comptait 34 pensionnaires et 30 externes avec un personnel restreint: un directeur (principal) chargé des sciences et de la lati­nité en 4° et 3°, un professeur de latinité. En 4° et 3°,un professeur de mathéma­tiques, deux professeurs adjoints, l’un pour le commerce et l’autre pour la lecture, un professeur de dessin, deux de musique, un pour les exercices militaires, et un professeur de danse (I). Les élèves avaient un uniforme en drap vert clair (habit), un gilet écarlate pour l’hiver, et blanc pour l’été, pantalon nankin biche. Les vacances duraient 8 jours (du 15 ou 23 fructidor), les élèves pensionnaires ne sor­taient qu’une fois tous les trimestres pour aller prendre un repas et passer une journée chez leurs parents (2).

L’Église fut transformée en Salle de Spectacle et en salle des Actes et Fêtes du Collège mais aussi ouvertes aux troupes de Théâtre, ce qui ne plaisait pas aux auto­rités religieuses. En 1793 on y célébra le culte de la Raison.

Le 26 janvier 1803 l’administration municipale décida que l’Institution Libre VERNET serait transformée en École Communale Secondaire. C’est à ce moment là que l’on démolit la Rosé (Rosace) de l’Église St Dominique pour des raisons de luminosité excessive. Mais mr VERNET eut sa gestion désapprouvée, il fut remplacé en Octobre 1806 par M. FABRE, directeur de l’École Ste Marie à MONT­PELLIER, en Octobre 1810 l’ère CROZALS débuta. Mr. Joseph CROZALS et son frère Ferdinand (originaires d’Alignan où ils dirigeaient un pensionnat) furent désignés pour diriger l’établissement, Joseph par un décret du Grand-Maître de l’Université Impériale du 10 Octobre 1810, fut nommé Principal (2).

L’arrivée des deux frères donna du renouveau au Collège, le nombre d’élèves augmenta sensiblement, ainsi que les professeurs (une quinzaine), plus de 200 élèves qui venaient de Pézenas, Cette, Béziers,Agde…

(1)Le Club des Jacobins s’installa dans le bel immeuble du Passage des Jacobins, reliant la Place Demame à la Rue de la Mairie (une des plus belles portes de Clermont. (François BONNERY Un Diocèse Languedocien).

(2)Un des nombreux élèves, Gaston COMBARNOUS, y rentra à l’âge de 7 ans, orphelin de sa mère, décédée en 1898, il avait perdu ses deux grands pères, et sa soeur la même année, son père fut contraint de le mettre en pension dans l’établissement, juste en face de sa maison natale, au N°I de la Rue Victor Hugo, il y resta jusqu ‘en 1910. Il garda longtemps le souvenir mélancolique de cette vision de son père gui oeuvrait de l’autre coté de la Rue dans son atelier de chaussures ou ‘il ne pou­vait rencontrer que Dimanches et jours de Fêtes : La discipline était très rigoureuse, voici des extra­its de certaines dispositions morales : «C’est par ses manières qu ‘un homme se fait d’abord juger»,«Choisis toi une société invisible d’amis, supérieurs et familiers», «La discipline imposée n’est rien quand on a le bon esprit de s’imposer soi même», «Ce n ‘est pas en s’asservissant aux laideurs et aux
vices, ce n’est pas en prenant de mauvaises manières que l’adolescent s’augmente ou s’émancipe»,(Distributions des Prix en 1928).

On agrandit les locaux et l’on note comme principal, en 1822 : MERIC, 1827 : Abbé GAYRAUD, 1828 : LOM BARD, 1832 : BARTHELEMY, 1838 : MERIC. Une véri­table dynastie CROZALS s’institua puisque se succédèrent les fils de Ferdinand; Emile en 1846, Joseph en 1847, ils ne purent interrompre l’agonie de l’établissement qui pour des raisons diverses perdaient de son intérêt (3). En 1850 GILLY et en 1851 SARLIT, ne purent mettre fin à l’hémorragie d’élèves. En 1848 on ne comptait que 92 élèves, en Mai 1852 plus que 20 externes, c’est ainsi que le 6 Juin 1852, la municipalité décida de supprimer les subventions et d’arrêter son fonctionnement. Dans l’Eglise St Dominique on installa dans le Choeur une salle de gymnastique et la nef fut utilisée pendant quelques années à toutes les activités ludiques. Par la suite elle servit de Salle Publique, puis de dépôt et ateliers municipaux.

On autorisa en 1852 les Frères de la Doctrine Chrétienne à prendre possession du Collège en s’engageant à créer une Ecole Supérieure Commerciale et Industrielle, pour une période de trente années. Mais dix années après la municipa­lité de Riffis-Bonneville par un décret du 27 Septembre 1862, consacre la résurrection du Collège Communal, qui fut réouvert sous l’autorité de M. ENJALBERT, succédèrent en 1868 FULCRAND, 1875 COTTIN, 1876 LAFFON, 1881 FAVEREAU, 1882 MOREL, 1884 COURBOULES, 1885 GUYOMARD, 1886 BOISSEL, 1891 BOSCH, 1893 TERRISSE, 1895 Henri BONNAL, 1926 Fernand BADA-ROUX, 1935 De VERNINAC Raymond, DE JOLY.En 1881 un engagement fut pris avec l’Etat et la Ville pour assurer conjointement traitement du personnel du Collège. Il fut précisé que l’enseignement secondaire classique devra se poursuivre jusqu’à la philosophie et l’enseignement moderne.En Juillet 1882, la municipalité de Ronzier-Joly, décidait la restauration presque complète du Collège. Les travaux se déroulèrent de 1885 à 1886, donnant l’aspect qui subsiste dans les anciens locaux jusqu’à nos jours.En 1938 on décomptait 154 élèves dont 65 pensionnaires et 15 demi-pensionnaires.On y installa une Bibliothèque et on améliora l’étude de la Physique, Chimie, Histoire Naturelle à fin de permettre aux élèves un enseignement apte à leur ouvrir un accès à des études supérieures.L’instruction était scindée en deux sortes d’établissement, c’est ainsi que pour les années 1938/1939 on note : Le Collège de la Sixième à la Première pour préparer à la pre­mière partie du Baccalauréat de l’Enseignement Secondaire, puis la 2eme partie dite«de Philosophie» ainsi  que le Certificat d’Etudes Secondaires du 1er Degré et le Brevet Elémentaire. Cette année là, on note 4 bacheliers en Philosophie, 5 en Première A’, 3 Certificat d’Etudes Secondaires, 1 Brevet Elémentaire. Le Corps professoral avec les autres enseignants, répéti­teurs Maître d’internat de 1922 à 1945 s’élevait de 16 à 22 personnes.En 1899 une Association Amicale des Anciens Elèves du Collège de Clermont se créa, leur bulletin annuel nous a permis de constater que parmi tous ces Anciens, de nombreuses personnalités s’imposèrent sur de nombreux points (4) Artistique, Littéraire, Scientifique, Archéologique, Médical, Enseignement, Scolaire, Universitaire, Juridique, Sportif, Parlementaire, avec bien d’autres ils continuèrent à se distinguer dans diverses activités, dans notre région mais certains ont eu également un destin national et parfois international.La qualité de l’enseignement donné dans cet établissement est assez exemplaire si l’on se réfère à la liste des membres de l’Amicale, en 1938 et des recherches sur les années posté­rieures (5).

En effet on peut y découvrir : 22 Médecins, 60 Enseignants dont certains universitaires, 1 Doyen de Faculté, 10 Magistrats ou auxiliaires de justice, Pharmaciens, 7 Commissaires de Police. Armée Généraux -1 Colonel – 2 Commandants -1 Capitaine -11 Hauts Fonctionnaires – 5 Musiciens – 1 Directeur d’Usine-  ELUS : 3 Sénateurs PEZIERES Georges – ViDAL Marcel  TAURINES Jean – Maire Conseiller Général : Louis VILLARET     Maire  Président  de  la  Communauté  des Communes : SOTO Bernard,1 Député : SALETTE Lucien –

MAIRES : RONZIER JOLY Léon, BARRAL Paul, VIDAL Marcel, VIDAL Joseph, ROUAUD jean, ROUQUET Léonl DUNOYER Henri, FABRE Léopold, FAJON Bernard, RAYNARD Michel, GANTOU Henry, MAUR1N Henry, PRAT Marcel, GOUZIN Denis, Pierre CABANNES

Conseiller d’Etat, ancien Directeur de THOMSON C.S.F, son frère Bernard, ancien Directeur de France-Presse, victime d’un attentat, il a été honoré à Clermont par le nom d’une Rue. Cinéaste : SOULANES Louis – Célébrités : GOSSE René, Doyen de Faculté des Sciences de Grenoble, Directeur de l’Institut Polytechnique : ALPHAUD Gabriel – DirecteurJournal Comédia : MERY Fernand – Docteur, Vétérinaire,Homme de Lettre : DEMARNE Paul Chef du Maquis BirHakeim.

Ecrivains,   Hommes   de   Lettres,   Archéologues GINOUVES René – PRADES Henry – BONNAL Pierre -CANS Georges – COMBARNOUS Gaston – BOISSIERE JulesMERY Fernand – VAISSADE Paulin – SELMY Eugène -GOUZES Henri – DELPON Gustave – MARTIN Ernest -MILHAU Jean – PASTRE Louis – BALP Jacques, BLANC Emile – CROS Paul (dit Pol de Sorre) – VALETTE Benjamin BONNERY François – BLANC Emile.Sur le plan sportif nous trouvons, Etienne COUTURIER, Philippe LACOMBE, Bernard GARCIA…Il faudrait ajouter à cette liste, non limitative, les Chef d’Entreprises, les commerçants, Négociants, qui ont apporté leur dynamisme à Clermont et sa région.

Cette énumération, parfois fastidieuse, probablement  incomplète montre la place importante que notre collège devenu lycée   a pris  dans   la   Formation   et  dans l’Instruction de ses élèves qui ont eu une place importante, dans de nombreuses activités, elles ont eu parfois un retentissement.

Documentation :

Bulletin de l’Amicale des Anciens Elèves – Biographie Clermontaise de l’Abbé Durand (1859) – Le Troubadour (1922) -Distributions des Prix -.Années de 1922 à 1948 – Bulletin de l’Association (1968) – Un diocèse Languedocien (1975) -Mercadier, article de François Bonnery.

Le corps enseignant avait comme caractéristique d’être très stable ce qui devait contribuer à la qualité de son ensei­gnement et probablement à la belle réussite des élèves qui sont passés dans cet établissement ; nous avons relevé le nombre important d’années de présence de certains : Mlle Aux/être Poulette en 1934, devenue Mme André COMBES en 1936 et restée au Collège jusqu’en 1968 (34 ans de présence) son mari de 1932 à 1970 (38 années). Même temps de présence pour Mr Armand RECOULY, Mr DURAND, Mr et Mme BECQUE, Mr CATALAN Professeur d’Espagnol de 1922 à 1938. Une étonnante particularité celle de Mr Louis POUJOL, ins­tituteur à l’Ecole Communale des garçons et en même temps Professeur de,Gymnastique au Collège de 1931 à 1946. Mr de VERNINAC à la fois Principal du Collège et Professeur de Lettre de 1935 à 1950. Mr BOINEAU, répétiteur de 1927 à 1947.

Le   COLLEGE   s’est  transformé   en   LYCEE   Renée GOSSE en 1968. Il occupe les locaux de l’Ancien Collège, il s’est agrandi, tout d’abord en incorporant les locaux de l’Ecole communale des Garçons, puis en s’agrandissant en incorporant les anciens dortoirs et en construisant de nou­veaux locaux. Aujourd’hui l’établissement accueille 830 élèves répartis dans 29 divisions.  II est envisagé un nouvel agrandissement.

Le Collège du Salagou en cette année scolaire 2005/2006, 745 élèves encadrés par 52 enseignants. Un total de 1575 élèves,chiffre à comparer aux 154 de 1939.

(3)   La vie de Joseph CROZALS (né en 1769) est une véritable épopée,  avec son oncle Jean,  Bénédictin,  ils quittèrent la France en 1792, en embarquant à Agde pour aller à TURIN se réfugier,  Joseph s’engagea dans un corps franc composé de Piémontais et d’émigrés, il fut gravement blessé de deux balles. En 1796 il se rétablit, la paix signée avec Napoléon, il partit pour Gênes, il tombe dans les mains des corsaires barbaresques de TUNIS, grâce à son sang froid,  il s’en échappe et parvient à\ débarquer à Marseille en Juillet et avec son frère créent à Alignan un Pensionnat.

(4)   En 1968 Mr Paul BARRAI fit un appel aux jeunes pour relancer l’Amicale mais après un bon début elle ne tarda pas à s’enliser, ce qui est vraiment regrettable pour la mémoire de ce remarquable établissement qui continue sur sa lancée.

(5)   Professeurs   en   1896   :   Bonnal   Principal   et Professeur, Desplan, Fournol, Rédier, Giraud, Planques, Calmes (5°+ et 6°), Gosse (Allemand), Marréaud, Coste, Vailhé   (Musique),   Audran   (Gymnastique),   Marcourel (Ens/Primaire), Béral, Carrier, Montagne (Répétiteurs), Aumônier Abbé Saint-Léger.

L’école des filles :

Située dans la rue René Gosse dans un ancien couvent bati dans les années 1840, l’ancien collège des jeunes filles est aujourd’hui une école maternelle.

L’ école d’agriculture et de viticulture d’hiver
En 1921 une Ecole d’Agriculture d’Hiver est créée et annexée au Collège. Elle occupe le local de la bibliothèque communale, ainsi qu’une partie de l’aile droite du Collège. Son but est d’orienter les élèves vers la terre, elle est ouverte aux fils de viticulteurs ou agriculteurs âgés d’au moins 15 ans.Le principal est de droit Directeur Administratif de l’Ecole et la direction technique appartient au Professeur d’Agriculture.Les cours fonctionnent du 1er Novembre (en raison des vendanges tardives) à fin Février. Durée des cours deux années.Le personnel enseignant comprend les professeurs de lettres et de sciences détachés du Collège, un professeur de médecine vétérinaire, d’hygiène et de droit rural, de chimie agricole. Les travaux manuels, dans des ateliers situés dans une dépendance de l’église des Pénitents (St Dominique), fonctionnent sous le contrôle des Maîtres-Artisans : Mécanicien, Marèchal-Ferrand, Charron, Menuisier. Un Horticulteur initie les élèves à la taille et aux traitements appropriés des arbres fruitiers et de la Vigne.Les élèves ayant réalisé une moyenne satisfaisante aux compositions obtiennent un diplôme du Ministère de l’Agriculture.Enfin des prix divers, tels que médailles de sociétés, livres, outils de taille, etc… sont décernés aux meilleurs.Mr BONNIOL, professeur d’Agriculture dirige l’Ecole depuis sa création jusqu’à sa dissolution.On note environ 25 élèves dont une forte partie d’internes profitant des mêmes réfectoires et dortoirs que les Collégiens(voir photo), viennent également des Pyrénées Orientales, de l’Aude et du Vaucluse.Parmi les enseignants, maître-artisans on peut noter : Mr BERTRAND Maréchal, Mr RANDON Père et Fils Carrossier,DESFOURS Menuisier-Ebéniste (Compagnon du Tour de France) Mr CHAUCHARD Agriculteur.En 1925 : 9 diplômés, en 1938/39 on note 13 diplômés dont 2 de Clermont en 1942 – 11, en 1946 – 8, jusqu’à ces­sation d’activité en 1950.

 

 

Sources: archives personnelles, textes de Blaise Gallego

 

L’école supérieure de jeunes filles,puis le Collège des filles, aujourd’hui une école maternelle publique
L’école des garçons, aujourd’hui annexe du lycée René Gosse
Collège des garçons, aujourd’hui le lycée public René Gosse
Une photo de classe de 1934

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